G. Voir and . Kuchar, The Poetry of Religious Sorrow in Early Modern England, p.6, 2008.

C. Ici, Messieurs, où mon oraison finit, et où la sienne commence

. Toute-la-force-d-'émouvoir and . De-toucher, toutes les matières de louanges, tout ce qu'il faut pour la gloire du plus grand des hommes, se trouve enfermé dans les actions du Prince malade. Il sera son orateur lui-même, p.58

. Avant-d-'être-une-expérience-psychologique-autonome, impassibilité ? sont un langage 59 Cette dimension dialogique de l'émotion, tournée vers l'extérieur et non pas seulement vers l'intériorité, est encore plus prégnante dans l'oraison funèbre, où l'orateur, qu'il ait été témoin oculaire ou qu'il se fonde sur le récit de témoins

V. Susan and C. Karant-nunn, The Reformation of Feeling, op. cit, p.191

. Voir-gilles-buhot and . Discours-funèbre-sur-le-trépas-du-roi-louis-le-juste, 18 : « pendant que son corps s'immole à la divine majesté par l'exercice des souffrances, il veut que son âme bruslât des ferveurs de la charité, lui serve d'holocauste, & continue toujours jusqu'au dernier souspir à chanter ses misericordres : Vita potius deficiente, quam cantu, la vie luy manquant plustost que ce chant agreable, la respiration plustost que les louanges : comme on dit de ces petits oiseaux qui meurent dans un doux concert qu'ils font à l'enui l'un de l'autre, & qui sont dejà estouffez, p.58

J. Cité-par and . Hennequin, « Les problèmes du genre de l'oraison funèbre selon les prédicateurs de Louis XIII en 1643 », Recherches sur l'histoire de la poétique, p.78, 1984.

G. Voir and . Kuchar, The Poetry of Religious Sorrow

. Ainsi, Voir la manière dont Mlle de Motteville, rédigeant le mémoire qui devait servir de base à l'oraison funèbre de Bossuet sur Henriette de France renonce à demander au confesseur « les dispositions de son âme sur la mort » (« Mémoire sur la vie d'Henriette de France », in Augustin Hurel, Les Orateurs sacrés à la Cour de Louis XIV, op. cit.) ; et la remarque de Saint-Simon concernant l'oraison funèbre de la Dauphine prononcée par le Père de la Rue en 1712 : « On fut étonné qu'il s'en fût chargé après ce qui lui était arrivé à la mort de cette princesse [elle avait choisi, en ces ultimes moment, p.490, 1985.

L. Voir-constance-cagnat, . Mort-classique, «. Cit, . Bey, and . Sonne-», Il en va de même dans d'autres traditions rhétoriques, ainsi en Autriche, dans les grandes oraisons funèbres baroques des Habsbourgs ; voir par exemple Christopher Traut sj, Ferdinandi des dritten [?] Gottseeligkeit, Vienne, 1657, Fol. E3ro ; et Ferdinand Widman sj, p.262