C. Xxii-carlo and L. Malvasia-a-bien-sûr-Écrit-une-vie-de-guido-reni-et-de, Albane dans la Felsina pittrice. La trame de la biographie du second repose sur le rapport de force continu entre les deux artistes. Guido est d'abord vu comme le modèle à admirer et à aimer

P. Xxv-giovanni, L. Bellori, and . Vite-de-'pittori, fac-similé de l'édition originale Vie de Domenico Zampieri, p. 309 et 328. xxvi « [?] rimase turbato col Lanfranco, e da questa cagione hebbe origine l'inmicitia che durò per sempre fra di loro? » (« [?] il resta fâché avec Lanfranco, et c'est de là que naquit l'inimitié qui dura pour toujours entre eux?, p.149, 2000.

X. , X. , X. Milan, and G. Silvestri, écrite à Naples le 19 avril 1641, après le décès du Dominiquin, semble infirmer cela Il écrit : « Io però non li ho tenuto in odio in vita, e meno ora che è morto, anziché ho desiderato di esserli amico, non essendo mancato da me mai. » (« Je ne l'ai pourtant pas haï de son vivant, et je le ferai encore moins après sa mort ; au contraire, j'ai toujours désiré être son ami, sans le moindre manquement de mon côté. ») Lettre citée par Giovanni Bottari, Raccolta di lettere sulla pittura, scultura ed architettura, scritte da'più celebri personaggi dei secoli xxvii « [?] de manière que toutes deux puissent être utiles l'une à l'autre en une vertueuse émulation, et qu'elles puissent faire progresser dans l'excellence ces arts-mêmes qu'elles exercent pour le bienfait de l'univers, La rivalité entre les artistes Lanfranco et Le Dominiquin fait partie des légendes qui ont été développées et répétées par leurs divers biographes. Cependant, une lettre de Lanfrancoétudient pas les rudiments du dessin et de la profondeur de l'art [?], ils ne savent ni disposer deux figures ensemble ni tisser le fil d'une histoire? » Ibid Michelagnolo fut, pp.317-138, 1822.

«. Xxxi-la and . Bestialité, « extravagance » de ses moeurs Giulio Mancini, Considerazioni sulla pittura, édition dirigée par Adriana Marucchi et commentée par Luigi Salerno, pp.1956-1957

«. Lui-donna, L. M. , and G. Baglione, xxxiii « esprit trouble » et « esprit trouble et coléreux ». Ibid., respectivement p. 210 et 202. xxxiv « un esprit extravagant, peu porté au respect, il fut enclin aux rixes et aux querelles. » Filippo Baldinucci, I, op.cit., volume III, p. 680. xxxv « [?] il affronta Ranuccio Tomassoni, un jeune homme aimable, à cause d'un différend au jeu de paume, après quoi ils se défièrent et en vinrent aux armes ; Ranuccio tomba à terre, Michelangelo lui porta un coup, et, l'ayant blessé dans la chair de la cuisse, et fut lui aussi blessé. » Giovanni Pietro Bellori, op. cit, p.208

J. Xxxviii-voir, . Freches, . Caravaggio, U. Pittore-e-rome, /. Electa et al., Le collier auquel il est fait référence est celui que Baglione a reçu des mains du Cardinal Sfondrato, lors de la cérémonie au cours de laquelle il a été décoré du titre de Chevalier de l'ordre du Christ. xl « [?] ils ont médit sur moi et ont critiqué mes oeuvres, et ils ont en particulier écrit quelques vers qui m'ont déshonoré et insulté, ils les ont donnés et distribués à de nombreuses personnes différentes, comme ceux que je vous montre, est pourquoi j'attaque les susnommés et les autres qui auraient trempé dans l'affaire, ou qui, d'une manière ou d'une autre, connaissaient son existence ? ce en quoi ils seraient coupables ?, et je demande que l'on procède contre eux comme la justice l'entend. » Sergio Samek Ludovici, pp.72-137, 1956.